Nos ancêtres les Égyptiens avaient une grande connaissance sur les énergies et la guérison par les mains.
Sur le papyrus Ebers trouvé dans les ruines de Thèbes il est inscrit : « Pose la main sur la douleur et dis : que la douleur s’en aille. » Au fil des siècles ces savoirs ancestraux se sont perdus. Perçus tantôt comme des sorciers, tantôt comme des charlatans, les magnétiseurs ont perdu leur place dans la société. La médecine moderne s’est développée et la chirurgie est arrivée. Tout cela a été une réelle révolution. Les chirurgiens sont capables de faire un travail extraordinaire en étant très précis. Ce n’est souvent qu’en dernier recours que l’on se décide à aller voir un guérisseur.

On reconnait un bon magnétiseur à ses réussites qui se communiquent le plus souvent par le bouche à oreille.

Le magnétisme est très connu pour guérir le zona et les brûlures car peu de médicaments y arrivent. Mais il peut aussi soulager les lumbagos, arthrites, migraines, eczemas, verrues, entorses, insomnies, fatigues, stress, angoisses, dépressions, dépendances ….
Le magnétisme permet aussi de mieux supporter les effets secondaires d’un traitement de chimiothérapie.

Le nombre de séances dépend de la maladie et depuis quand elle s’est installée. Cela peut varier de 1 à 5 séances et aucun magnétiseur ne peut faire de promesse de guérison. Il faut en trouver un de confiance, tester et voir ce que ça donne !

D’une manière générale après un soin on se sent détendu, en pleine forme ou l’effet inverse, avoir envie de se reposer. Les énergies vont travailler pendant 48H. Il est bon de boire un verre d’eau pour libérer toutes les toxines du corps qui pourraient encore circuler.
La crise de guérison

Le soir ou le lendemain du soin vous pouvez avoir les symptômes qui s’accentuent. Rassurez vous cela n’arrive pas à chaque fois mais il faut savoir que c’est possible. Après 72H maximum tout rentre dans l’ordre !

Même si les séances de magnétisme vous font du bien, si vous avez un traitement médical, vous devrez continuer à le suivre. Seul votre  médecin traitant peut décider de le réduire ou de l’arrêter !